Découvrez comment soigner et ressusciter vos amis dans Palworld, le jeu vidéo qui mêle créatures étranges et exploration de vastes contrées. Si les ennemis ne manquent pas dans ce jeu, vos alliés peuvent aussi avoir besoin d’un coup de main en cas de combat. Heureusement, notre guide spécialisé vous explique tout.
Pour soigner vos amis, vous pouvez leur donner de la nourriture directement depuis votre inventaire. Il vous suffit d’ouvrir votre inventaire et de mettre en surbrillance un aliment spécifique (comme les baies ou la viande), puis de cliquer avec le bouton droit. Vous verrez apparaître un panneau qui vous permet de sélectionner soit votre personnage, soit tous les amis de votre groupe.
Plus tard, une fois que vous aurez débloqué le Petit Sac de Nourriture, vous pourrez placer de la nourriture dans un conteneur de votre inventaire. Cela permettra à votre personnage et à vos amis de manger automatiquement lorsqu’ils ont faim ou s’ils ont besoin de recharger leurs points de vie.
Quant à la résurrection des amis dans Palworld, vous devrez les placer dans le Palbox. C’est le même appareil que vous utilisez pour les gérer dans votre base. Il vous suffit de faire glisser le portrait d’un ami KO vers le centre du panneau du Palbox pour voir un minuteur.
Les amis qui ont été mis hors d’état de nuire doivent passer au moins 10 minutes dans le Palbox pour être complètement soignés. Le minuteur fonctionne en temps réel et ne se décompte que si vous êtes en ligne. Ainsi, si vous tentez de ressusciter une créature et que vous quittez le jeu, elle restera KO même si vous revenez une journée entière plus tard.
Voilà comment soigner et ressusciter vos amis dans Palworld. Il vous attend un chemin semé d’embûches, surtout lorsque vous rencontrerez des monstres plus forts, donc assurez-vous que tout le monde est en pleine forme pour le combat.
Des étendues sauvages, des biomes uniques et des créatures encore plus étranges vous attendent dans Palworld. Vous pouvez en apprendre davantage sur le jeu dans notre guide spécialisé.
