Environ 10 à 15 pour cent des personnes sont gauchères. Il n’est donc pas inhabituel que la plupart des souris soient uniquement destinées aux droitiers et que seule une conception symétrique soit utilisée pour permettre aux gauchers de les utiliser également. Mais surtout lorsque des touches supplémentaires entrent en jeu, cela devient difficile. QPAD a choisi une approche différente avec le DX700 et nous y reviendrons ici dans la revue des souris de jeu.
Conception et fonctionnalités
À première vue, la DX700 de QPAD ressemble à une souris normale et symétrique. Il y a un logo éclairé RVB à l’arrière et une petite lumière derrière la molette de la souris, là où les autres souris ont un bouton pour basculer le DPI. Mais maintenant, on remarque que non seulement sur le côté gauche les boutons normaux du pouce sont présents, mais aussi sur le côté droit, deux autres boutons sont présents en parfaite symétrie. Cela montre clairement que la souris convient vraiment aussi bien aux droitiers qu’aux gauchers. Des deux côtés se trouvent des surfaces caoutchoutées qui assurent une bonne adhérence.
Une autre chose à garder à l’esprit est la longueur de poignée réglable. Par exemple, alors que la souris de jeu Trust GXT Morfix 970 se concentre sur l’offre d’un nombre différent de boutons, QPAD souhaite rendre la souris accessible à tous et il existe donc deux caches d’extrémité de longueurs différentes. La différence d’environ 1 cm ne semble pas si grande, mais elle a un impact important sur l’ergonomie. Les deux boîtiers sont maintenus dans la bonne direction par des rails de guidage et se trouvent sous la souris. De plus, ils sont maintenus en place par un aimant, ce qui permet un changement rapide.
Fabrication et ingénierie
Même si l’ajustement des embouts est très bon et que tout y reste en place, la finition n’est pas parfaite. Les boutons de la souris ne sont pas connectés au boîtier, c’est pourquoi ils manquent de stabilité et claquent lorsque la souris est déplacée sur la table. À long terme, cela est non seulement ennuyeux, mais peut aussi conduire plus rapidement à des défauts.
Voyons maintenant d’abord les spécifications techniques en un coup d’œil.
Capteur | PMW 3389 |
PPP | 16 000 |
Max. Vitesse | 400 pouces par seconde |
Pixels de reconnaissance | 1296 |
Taux d’échantillonnage | 1 000 Hz |
Temps de réponse | 1 ms |
Clés | 8 |
Éclairage RVB | Oui, 16,8 millions de couleurs |
Forme | Offre remise |
Prix | 75,81 € * |
Au cœur du QPAD DX700 se trouve un capteur optique Pixart PMW-3389. Avec jusqu’à 16 000 DPI, il devrait y avoir suffisamment de capacité pour que tout joueur puisse effectuer les réglages souhaités. Nous verrons plus tard comment la souris peut être ajustée. Le taux d’échantillonnage allant jusqu’à 1000 Hz est désormais presque standard, tout comme l’éclairage RVB. Dans l’ensemble, les caractéristiques techniques sont assez élevées, regardons donc ce que fait le DX700 en pratique.
Ergonomie et pratique
Comme mentionné précédemment, le QPAD DX700 peut être utilisé de la même manière avec les deux mains. Cependant, pour l’ergonomie, cela signifie que seul le dos de la souris est légèrement courbé pour soutenir la posture naturelle de la main. Néanmoins, grâce au cache d’extrémité interchangeable, QPAD offre à l’utilisateur la possibilité de mieux adapter la souris à sa propre main.
En pratique, la souris tient très bien en main, à condition d’utiliser le cache d’extrémité approprié. La prise en main du revêtement en caoutchouc est bonne et le placement des boutons du pouce facilite également son utilisation. Le seul problème, cependant, est que les boutons placés du « mauvais côté » gênent toujours. Cela signifie qu’ils sont souvent pressés involontairement. Cependant, si le logiciel est installé, l’action peut être empêchée lorsque ces touches sont enfoncées. Regardons de plus près le logiciel.
Logiciel
Le panneau de configuration du QPAD propose deux pages différentes et un petit emplacement pour des paramètres supplémentaires. La première page traite des options d’éclairage. Comme effets, « statique », « pulsé » et « arc-en-ciel » peuvent être définis via de petites icônes. De plus, la luminosité et la vitesse peuvent être réglées en cinq étapes via deux curseurs. Au total, 9 couleurs différentes sont préprogrammées, mais vous pouvez également utiliser le sélecteur de couleurs.
La deuxième page du panneau de contrôle offre les possibilités de définir et de programmer des macros. Les macros sont faciles à enregistrer et relativement faciles à modifier. De plus, les macros peuvent être exportées et importées.
Le slide-in qui s’ouvre lorsque vous cliquez sur Paramètres permet d’effectuer plus de paramètres en ce qui concerne la configuration de la souris. En plus des paramètres DPI, qui peuvent même être différents en XY et réglés par intervalles de 50, le taux d’interrogation peut également être réglé entre 125, 250, 500 et 1000 hertz. De plus, les affectations des boutons pour un utilisateur droitier ou gaucher peuvent également être définies ici.
Le seul inconvénient majeur du panneau de contrôle QPAD est la réactivité du logiciel. Côté éclairage, il faut un peu de patience pour appliquer les réglages et régler les couleurs.
Résumé de l’examen de la souris de jeu QPAD DX700
La QPAD DX700 est donc une souris qui convient aussi bien aux droitiers qu’aux gauchers, mais qui doit par conséquent se rapprocher du domaine de l’ergonomie. Il faut y contrecarrer par le cache d’extrémité interchangeable quelque chose qui apportait toutefois des inconvénients, comme la stabilité du bouton gauche et droit de la souris.
Le côté technique, en revanche, est d’un niveau assez élevé et offre tout ce qu’une souris doit pouvoir faire de nos jours. Néanmoins, le logiciel un peu lent rend les réglages difficiles. Il faut être patient et savoir exactement comment régler les réglages. Dans l’ensemble, la DX700 est une souris polyvalente, mais elle a ses pièges.